Samstag, März 15, 2008

Mittwoch, Februar 28, 2007

Ambrosianischer Lobgesang - Te Deum

Dir Gott und Herr sei Lob und Preis!
Dich betet an der Erdenkreis,
allmächtiger, ewiger Vater.
Die vielen Engel ohne Zahl,
die Kräfte aller Welt zumal,
sowie die weiten Himmel;
die Cherubin und Seraphim,
sie preisen Dich, Gott Elohim,
und singen unaufhörlich:
"Der allgewaltige Sabaoth,
der Himmel Herrscher, Herr und Gott
ist heilig, heilig, heilig!"
Die Himmel und das Erdenrund
sind voll des Ruhms und machen kund
der Herrlichkeiten Wunder.
Dich preiset der Apostel Chor;
es treten die Propheten vor,
um Dich, Gott, Herr, zu loben.
Es rühmet Dich ein leuchtend Heer
von Seelen, die einst Dir zur Ehr'
den Martertod erlitten.
In allen Ländern, überall
auf unserm weiten Erdenball
bekennt die heilige Kirche
dich, Vater in der Ewigkeit,
als Schöpfer all der Herrlichkeit,
die wahrhaft unermeßlich,
und Deinen wahren, einzigen Sohn,
Dem du verliehn des Himmels Kron',
der höchsten Ehren würdig.
Und weiter sie bekennt und preist
zum dritten auch den Heiligen Geist,
verheißen uns als Tröster.
Du König aller Herrlichkeit,
des Vates Sohn seit Ewigkeit,
Du Heiland Jesus Christus,
du hast, zu tragen Menschenlos,
verschmähet nicht der Jungfrau Schoß,
die Menschheit zu erlösen.
Du hast nach größter Erdennot
besiegt das Leid, besiegt den Tod,
den Himmel uns geöffnet
und sitzest nun im Herrscherkleid
in glanzumwobener Herrrlichkeit
zur Rechten Gott, des Vaters.
Wir glauben, daß am End der Welt
Du kommen wirst vom Himmelszelt
als Richter aller Menschen.
Beschütz uns Diener wie Dein Gut,
die du mit Deinem heiligen Blut
so teuer hast erworben;
laß uns den Heiligen zur Zeit
in Deiner ewigen Herrlichkeit
einst beigezählet werden.
Wir preisen alle Tage Dich
und Deinen Namen ewiglich
im Loblied unaufhörlich.
Bewahre gnädig uns, o Herr,
vor Fehlern und vor Sünden schwer
an jedem unsrer Tage.
Erbarm dich unser, Herr und Gott,
wie wir auf dich gehofft.
Auf Dich hab ich gehofft, o Herr,
und werd' in Ewigkeit nicht mehr
enttäuscht zuschanden werden!
So singet laut und jubelt, preist
Gott - Vater, Sohn und Heiligen Geist -,
laß uns Ihn ewig loben!

Aus: "Laudate Dominum - Eine Gedichtreihe von Hermann Becker" - als Manuskript gedruckt, Redaktionsexemplar «Das Zeichen Mariens».

Freitag, Dezember 22, 2006

Kapelle Bruder Klaus Ranft

Bruder-Klausen-Kapelle im Ranft, Flüeli-Ranft, Sachseln, Kanton Obwalden,

Schweiz

Montag, November 20, 2006

Die Himmelskönigin


Ein Andachtsbild aus dem Jahre 1899. St. Norbertus-Verlag, Wien

Dienstag, Oktober 24, 2006

Ewiger Bund von der Immerwährenden Anbetung - St. Gallenberg, Glattburg

Ewiger Bund von der immerwährenden Anbethung, und Andacht gegen dem Allerheiligsten Sakrament des Altars, in der Kirche des Löbl. Gotteshauses St. Gallenberg, zu Glatburg erneuert in dem Jahre 1782:

Montag, September 25, 2006

Inspirations et Aspirations - Extraits du manuscrit de Marie-Josée - suite

J'écoutais un programme où une jeune fille de 15 ans devenait aveugle. J'ai donc pris le temps de méditer sur ce trésor qui nous a été donné soit: les yeux. Quelle merveille avons-nous tous et nous mettons nos importances ailleurs. Comme nous pouvons être sots.
Mon Jésus, quel trésor que de me donner la santé! Je ne vous remercie pas assez dans une journée. Non, on ne s'arrête jamais trop à cela. Quelle épreuve terrible que d'être aveugle où le devenir avec les années! On devrait l'apprécier à chaque instant.

"Il y a quelque chose de plus important que tes yeux, mon enfant, c'est ton âme et c'est pour cela que je tiens tant à ce que la tienne soit belle et en bonne santé car l'âme doit également être suivie de près pour garder sa fraîcheur."
"Tu sembles ignorer l'importance de ton journal, ces conseils donnés, ces bonnes paroles qui encouragent l'individu à tenir bon dans son quotidien et à progresser tout doucement dans la voie parfaite, celle du ciel."
"A te voir agir, tu me fais penser à l'aveugle. Il est près, tout près du but et se décourage avant même d'y toucher car il croit qu'il est seul au monde dans cette noirceur absolue. Ton journal est ta lumière, celle qui éclaire ta foi."
"Que tu le veuilles ou pas, j'ai choisi ce moyen-là pour toi et tu ne dois pas le négliger. Essaie donc d'y faire face avec motivation et crois à ce qui t'est dit."
"Mon enfant c'est joli et beau de se dévouer pour les autres mais tu ne dois pas négliger ton âme, elle ne doit pas en souffrir car ton salut en dépend fortement. Tu n'aimes pas relire tes écrits, pourquoi? Pose-toi la question bien honnêtement, quel est ton blocage car du temps, ce n'est pas cela qui te manque? Quel gaspillage de temps pour un simple entêtement de ta part. Tu es comme l'aveugle qui n'accepte pas d'être aveugle et qui pourtant possède tous les moyens pour vivre et s'orienter dans la noirceur."
"Tant et aussi longtemps que tu ne voudras pas relire, ton blocage augmentera et te fera souffrir car ton âme a besoin de ce moyen-là pour se donner toute entière. Tu y mets trop d'obstacles et c'est toi qui te les mets. Bien entendu l'ennemi t'encourage à détruire ce qui devrait être ton trésor, ta joie, car tu riras peut-être de ce que je vais te dire, mais ton journal c'est comme les yeux de ton corps. Ton journal ce sont les yeux qui éclairent ton âme sur le droit chemin. Pas d'yeux, quelle catastrophe avant de s'en être ajusté, n'est-ce pas?"
"Que j'ai raison, tu te plains que ton âme est sèche, tu te plains de ta manière de comprendre la religion, de la pratiquer, de l'observer? Alores relis ton journal, tout est si bien marqué. Tu t'ennuies car les répétitions sont nombreuses, mais t'es-tu regardé? Tu n'es même pas convaincue après tant de répétitions alors, si je n'avais pas répété aurais-tu mieux comprise?"
"Pauvre petite fille, c'est bien l'aveuglement qui t'accable. Pour en sortir et en guérir, il te faut réagir et croire que je ne te fais pas marcher sans intérêt. Tu ne me fais pas assez confiance et du te laisses trop influencer par cette voix contraire de la mienne. En te créant tant de troubles comment pourras-tu tenir bon? Comment pourras-tu croire fermement en moi?"
"Rien n'est perdu, reprends-toi aujourd'hui, montre-moi de la bonne volonté. Je te demande de relire, une demie heure de lecture spirituelle dès que tu es seule. Je t'assure d'avance le succès si tu y es fidèle. Puis, ce n'est pas tout d'une demie heure l'après midi car ton esprit est si distrait qu'il faut le remettre sur le bon pied."
"Profite du moment où tu aimerais regarder la télévision et médite. Il n'y a pas d'autre moyen pour guérir ton âme donc, commence aujourd'hui et, si tu oublies, tu devras t'exiger une pénitence, une mortification, une privation. C'est très important, ce n'est plus un jeu, un simple passe-temps. Tu dois donc te remettre sérieusement à cette lecture. N'attends pas que tu sois clouée dans un lit pour le faire. Qui te dira que tes forces seront présentes pour le faire? Comme tu disais si bien à ton Père "on ne doit pas remettre à demain ce qu'on peut faire aujourd'hui."
"Ton Père devra te rappeler de relire, tu dois devenir obéissante dans cette lecture, cette méditation comme tu l'es devenue pour ton journal. Mon enfant, c'est très sérieux, très sérieux. Je ne serais pas après toi si ce n'était pas sérieux. Je ne suis pas celui qui perd son temps et le fait perdre."